Bilan Carbone ADEME (année 2020)
Bilan Réglementaire des Émissions de Gaz à Effet de Serre (Bilan Carbone) publié sur le site de l’ADEME, communiqué du 31 août 2021
Crédibilité rime avec exemplarité : Bilan Carbone ADEME 2020 pour aSpark ✅
Tout a commencé le jeudi 7 novembre 2019…
Comme beaucoup de personnes sur ces dernières années, la prise de conscience sur l’évolution du climat a été brutale. Tout est remis en question.
Le dérèglement climatique, c’est connu depuis longtemps, depuis les bancs de l’école, mais sans être suffisamment pris en compte. On s’en souvient avec précision et, pour notre part, la prise de conscience a démarré le 7 novembre 2019. S’en est alors suivie une période de questionnement, de doutes de soi et des autres, de sentiment d’impuissance, de recherche insatiable d’informations. Notre solution : la contribution et l’action, et au-delà des opportunités, un profond engagement personnel, public, et professionnel. Voici notre histoire.
1.a. Engagement à l’échelle individuelle (Soi pour soi)
1.b. Engagement à l’échelle individuelle (Aider les autres)
3.a. Engagement professionnel (exemplarité)
3.b. Engagement professionnel (Lancement de notre offre RSE Carbone)
1.a. Engagement à l’échelle individuelle (Soi pour soi)
Au moment de la prise de conscience, on commence par se remettre personnellement en question. On se demande à quel point on est responsable, chacun à son échelle, de cette situation. Et le premier constat, c’est qu’on ne sait pas à quel point, on ne sait pas le mesurer. Or, quand on en parle autour de soi, on se rend compte qu’on n’est pas seul dans cette situation. Peu de gens connaissent l’impact environnemental, et plus spécifiquement carbone, de leurs habitudes de vie et de travail. Le phénomène du dérèglement climatique et son ampleur sont mal connus, beaucoup d’idées reçues circulent. On peut donc commencer par mesurer son empreinte carbone personnelle, et remettre en question ses habitudes ou ses comportements.
1.b. Engagement à l’échelle individuelle (Aider les autres)
Une fois son empreinte carbone mesurée et son plan d’action construit, on a eu envie de faire vivre cette expérience à d’autres. Nous agissons donc en bénévolat pour sensibiliser d’autres personnes, dans notre entourage familial ou amical. On maintient d’ailleurs un groupe Facebook “Revue de Presse” sur le sujet et on échange sur les actualités et les bons plans.
Très rapidement les quick wins arrivent : réduction de la température de la maison en hiver, changer ses habitudes alimentaires, etc. Puis viennent d’autres actions possibles mais plus contraignantes : arrêter de prendre l’avion ? Ou arrêter la voiture thermique et prendre son vélo ? Ou encore ne plus sur-consommer ? Se positionner en donneur de leçons ne fonctionnant pas, l’idée est que chacun construise son propre plan d’action. Chacun se projette et s’engage sur des objectifs à un an, tout en se positionnant sur une trajectoire de réduction de son empreinte carbone jusqu’en 2050, pour viser un objectif compatible avec celui de ne pas dépasser planétairement les +1.5°C ou +2°C.
Chez aSpark, nous comptons parmi nous des ambassadeurs “MyCO2 Pro” et des animateurs “Fresque du Climat”, “Fresque du Numérique”, etc. Mais, une fois cette étape franchie, que faire de plus ?
2. Engagement public
Les élus (municipaux, départementaux, régionaux, etc.) prennent des décisions au niveau territorial. Et ces décisions ont des impacts sur la vie quotidienne des citoyens vivant sur ces territoires. Bétonner ou pas, remettre des points d’eau et de fraicheur et planter des arbres pour améliorer la résilience de la ville face aux fortes chaleurs, fournir les informations claires quant aux aides disponibles pour refaire les isolations des bâtiments, calorifuger les bâtiments publics, peindre des trottoirs, des routes ou autres toits bitumeux en blanc, sont autant de décisions que peuvent prendre les élus. Et les élus comme tous les autres, ne sont pas encore tous formés à ces problématiques et ces enjeux. C’est pourquoi, notre dirigeante a également souhaité m’engager pour 6 ans en tant que Conseillère Municipale Déléguée à la Transition Énergétique et aux Circuits Courts et Locaux et porter ces sensibilisations à un niveau public, au sein de sa ville, mais aussi plus largement auprès d’associations d’élus au niveau départemental, et dans d’autres communes. Nous agissons aussi en poussant des idées, et en menant des projets de réduction de l’empreinte carbone des collectivités. Mais, une fois cette nouvelle étape franchie, que faire de plus ?
3.a. Engagement professionnel (exemplarité)
Ensuite, on peut également s’intéresser à l’empreinte carbone au niveau professionnel. Les chefs d’entreprise ont un devoir et une responsabilité en tant que décisionnaire. C’est important de former au plus vite l’ensemble des collaborateurs pour qu’ils puissent prendre des décisions éclairées tant au niveau personnel que professionnel. Également, réaliser le Bilan Carbone de son entreprise permet de réduire les émissions des gaz à effet de serre sur les postes les plus émissifs. Des actions s’en suivent comme mieux sélectionner ses fournisseurs, optimiser les processus en termes d’empreinte carbone, voire abandonner ou changer ses activités, innover pour diminuer l’empreinte carbone de l’utilisation et la fin de vie des produits et services utilisés, investir dans des projets labellisés et contrôlés pour augmenter le nombre de puits de carbone dans le monde et développer la biodiversité, etc. Chez aSpark, nous finançons depuis novembre 2019 la reforestation dans le monde, voici notre forêt, labellisée Planvivo.org. Nous sommes également co-actionnaire Time for The Planet, à titre personnel et professionnel.
La réglementation oblige les entreprises de plus de 250 salariés à publier leur Bilan Carbone sur le site de l’ADEME mais pourquoi attendre ? Chez aSpark, bien que non contraints par la réglementation, nous venons de publier, hier 31 août 2021, notre Bilan Carbone auprès de l’ADEME (Bilan des Émissions de Gaz à Effet de Serre Réglementaire (BEGES-R). Notre plan d’action est construit et, en toute transparence, disponible ici.
3.b. Engagement professionnel (Lancement de notre offre RSE Carbone)
Mais nous pouvons faire encore plus ! À l’instar de la Communauté des Shifters, pourquoi ne pas sortir de sa zone de confort et flécher les compétences du cabinet pour contribuer à la lutte contre le dérèglement climatique ? Depuis novembre 2019, nous avons investi autant de temps et d’argent que possible dans un parcours de formation intense auprès des acteurs les plus reconnus dans le domaine (Carbone 4, Institut Formation Carbone, ADEME). L’objectif était de créer une génération d’experts. Nous sommes prêts à vous aider en mettant nos 15 ans d’expérience de gestion de projets internationaux, de conduite de changement, d’analyse de reportings, de gestion de plans de transformation, de construction et d’animation de parcours de formation, et d’animation d’ateliers de co-construction au service de la décarbonation. Nous avions développé notre point de vue dans un précédent article paru dans Le Figaro dernièrement : L’intelligence collective au service de la RSE.
Si vous souhaitez travailler passionnément avec des consultants authentiquement impliqués dans la lutte contre le dérèglement climatique, contactez-nous. Nous vous communiquerons notre offre RSE Décarbonation.